Ma vision de l’argent
Pour moi l’argent est neutre.
De la même façon que peut l’être une énergie, un fluide.
Je vois l’agent comme du « liquide » et la société comme un vaste organisme.
Dans un organisme en bonne santé, l’énergie, les fluides et les liquides circulent aisément et de partout où il y en a besoin.
Et en même temps et réciproquement : l’organisme est en bonne santé, car le liquide circule de façon fluide.
Dans l’exemple du corps humain, le liquide est réparti de façon harmonieuse :
-à la fois, chaque cellule en reçoit
-et à la fois, la répartition privilégie les organes vitaux, car ils jouent un grand rôle pour l’ensemble du corps.
Je peux également voir l’argent comme un outil de vote à propos de ce en quoi se transforme l’organisme société.
Le faire circuler à travers moi me permet de prendre part à ce « pouvoir magique ».
Pour moi : pouvoir = je peux (capacité, légitimité)
C’est un verbe activateur.
À savoir :
Il existe des monnaies fondantes comme la monnaie libre (June, Ğ1) qui a été inventée pour garder essentiellement la fonction «facilitation des échanges ». La fonction « réserve de valeur » de la June pert tout intérêt au-delà de 40 ans.
Le travail est récompensé à l’échelle d’une vie humaine. Et en même temps, les économies entre individus dans le long terme tendent à toujours s’égaliser au sein du système.
Cela permet de l’équité au sein des générations. Dans la monnaie libre, les jeunes ont autant de pouvoir d’action que les générations nées en amont.
Dans la Monnaie Libre, ce sont les comptes* des individus qui créent la monnaie. Les prêts et financements doivent être demandés auprès des uns et des autres. Ainsi le droit de vote sur les projets qui se feront appartient à tous.
*(1 compte créateur de monnaie par individu. Les autres comptes sont de simples portefeuilles.)
Ma vision de l’économie
Mon idéal est que l’économie soit une économie du surplus.
(Je peux d’ores et déjà voir l’économie actuelle comme étant une économie du surplus. C’est un simple point de vue qui tend à être auto-réalisateur)
Dans cette économie, chacun pense en même temps à soi-même et aux autres.
Et en même temps, les autres pensent à moi et à eux-mêmes.
Dans cette vision, penser à moi-même est important pour optimiser l’énergie.
Ce qui est produit par moi-même et qui m’est utile* est à garder.
C’est comme une transaction instantanément déjà reçu.
Il est, dans ce cas optimal (pour moi et l’ensemble) qu’elle reste là.
Tout ce qui m’est en trop est à donner en totalité, pour m’alléger.
J’ai cependant le devoir de donner de façon pertinente. De trouver à qui et comment donner tous mes surplus là où ils seront le plus utiles.
Comme pour respecter l’énergie donnée.
Comme économiser de l’électricité.
(*Les biens ou argent représentant une part suffisante pour moi de sécurité font partie de ce qui m’est utile)
Mes surplus à moi
J’ai des idées qui débordent, des surplus d’expériences à partager.
Cela fait énormément de sens pour moi de partager du surplus d’informations, c’est pourquoi j’écris.
Surtout que l’information est duplicable. Je peux la donner indéfiniment et l’avoir encore pour moi.
Et la partager permet aussi de la faire évoluer et de l’assimiler.
Vous pouvez même copier cette idée de partager vos informations vous aussi. Cela marche encore mieux.
Tous les systèmes tendent à s’équilibrer par l’information.
L’information = ce qui donne la forme.
C’est la notice de l’énergie.
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Retrouvez aussi ma vision de la vie :
-Pourquoi j’écris ?
-Pourquoi parler de choses intimes ?